LA
CÔTE DES ABERS
(29
septembre 2007, 121 km)
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Le lit du fleuve qui
borde Le Conquet, en direction du port et de la Mer d'Iroise. |
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Le lit du fleuve côtier
qui borde Le Conquet, en direction de l'amont. |
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Le port du Conquet, à
marée... très basse ! (coefficient 112) |
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Certains bateaux ont
souhaité sécher un peu à terre, d'autres sont
restés fidèles à la mer, mais aucun n'a osé
tourner le dos au large ! |
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Et si la mer décidait
soudainement de ne plus revenir baigner le pays des hommes ? |
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Un peu en amont du Conquet,
au moment d'en repartir. |
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L'Aber-Ildut et son goémon,
vu depuis le hameau de Kerglonou. |
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Les premiers milles de
la Manche à l'embouchure de l'Aber-Benoît. |
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S'il est vrai que le
soleil et la couleur de l'eau laissent rêveur, le vent frais
sait nous rappeler que ce ne sont pas les tropiques ! |
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Majestueux Aber-Benoît. |
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Dans un recoin de l'Aber-Benoît,
un cygne et un voilier se la coulent douce... |
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Une petite sieste dans
les bois, en étant bercé par les eaux, cela vous tente
? |
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Mariage des eaux de la
Manche et de celles de l'Aber-Wrac'h, sous l'oeil protecteur du
Phare de l'Île Vierge. |
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À nouveau, l'embouchure
de l'Aber-Wrac'h et le Phare de l'Île Vierge à droite. |
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Près du port de
l'Aber-Wrac'h, des bateaux ivres agonisent en silence. |
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Certains jugeront que
cette scène est hideuse, d'autres - au contraire - qu'elle
respire de poésie... |
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... mais tout un chacun pourra laisser libre cours à son imagination pour songer à ce que put être la vie de ces embarcations. |
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