DOMPIERRE-SUR-BESBRE
- VOGÜÉ
(15
mai 2009, 316 km)
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Voici
la petite cour se trouvant derrière l'hôtel. Jeannette
aura trouvé refuge dans une sorte de cagibi après
la porte ouverte du fond. |
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Après
quelques kilomètres et près de Vaumas, je peux déjà
contempler le château de Beauvoir. |
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À
la sortie de Lapalisse, je découvre ce viaduc (de chemin
de fer). |
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Et
ensuite, le paysage commence à véritablement se vallonner
- ici au Mayet-de-Montagne - pour ma plus grande joie ! Vive le
Massif central ! |
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Le
soleil, lui, s'évertue toujours à percer la grisaille
mais ses efforts restent vains pour le moment. |
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Malgré
les nuages et la luminosité que j'espérais meilleure,
je suis tout excité d'arpenter ces collines ! Ce paysage
me plaît beaucoup car il m'inspire une grande douceur : moins
monotone qu'un paysage de plaine, plus dynamique, et dans le même
temps moins accidenté qu'un paysage de haute montagne, plus
tranquille. Tout en sachant bien sûr trouver des charmes aux
paysages de plaine et surtout de haute montagne, je suis saisi d'enchantement
par l'équilibre qui émane de ce niveau intermédiaire
! |
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Le
village de L'Hôpital-sous-Rochefort, peu avant d'arriver à
Boën. |
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Juste
après Montfaucon-en-Velay, c'est-à-dire trois heures
de pluie presque continue plus tard, celle-ci cesse miraculeusement
de tomber... |
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...
et rend progressivement la place à la lumière ! Cette
fois mes souhaits vont définitivement s'exaucer. Le plafond
se délite. Sensation de renaissance. Comme c'est beau ! |
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La
silhouette du Pic du Lizieux, qui restera assez longtemps dans mon
champ de vision, attire mon
attention autant que l'ouverture de la voûte nuageuse ! |
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Youpi
! Ça commence à sentir l'arrivée même
s'il reste encore à parcourir quatre-vingts kilomètres. |
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Après
Saint-Agrève et ma crevaison, les reliefs se creusent davantage
encore. Voici Saint-Julien-Boutières. Avec du soleil, c'est
quand même mieux ! |
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Saint-Martin-de-Valamas,
dominant le cours de l'Eyrieux. |
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En
quittant Le Cheylard par la vallée de la Dorne, et sous un
ciel de plus en plus lumineux, le paysage gagne encore en majesté. |
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Sans
remettre en question mon plaisir à rouler dans la campagne
d'Île-de-France, voici quand même autre chose que le
Gâtinais d'hier matin ! |
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Le
Château de La Mothe, toujours tout près du Cheylard. |
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Après
Dornas puis le hameau de Sardige que l'on aperçoit en contrebas,
la route s'incline plus franchement pour s'extraire de la vallée
et rejoindre le col de Mézilhac. |
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Voici
donc Sardige. Peu de temps après l'avoir traversé,
on a déjà presque l'impression de l'observer par le
hublot d'un petit avion ! |
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Lentement
mais sûrement, Jeannette avale les mètres d'altitude... |
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pour m'offrir le plus beau panorama de ces deux jours de route ! |
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Me
voici donc au col de Mézilhac, à 1119 mètres
d'altitude, point culminant de ce périple. |
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Les
nuages offrent encore un festival d'ombres et de lumières... |
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...
que j'essaye de figer. |
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De
l'autre côté du col, c'est la vallée de la Volane
et une longue descente - plus de vingt kilomètres - sur Vals-les-Bains. |
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Entre
Laviolle et Antraigues-sur-Volane, la vallée prend temporairement
le visage de gorges. |
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Vigueur
de la rivière dans ces gorges. |
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Voici
enfin la silhouette d'Antraigues-sur-Volane, le dernier petit village
de moyenne montagne que j'apercevrai avant de rejoindre Vals-les-Bains
puis Aubenas. |
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Et
une dizaine de kilomètres après Aubenas... voici le
but ultime de ma pérégrination, sur les rives de l'Ardèche
: Vogüé ! |
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Au
village de vacances, je trouve le comité de réception,
qui m'a gratifié de quelques applaudissements ! |
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Ce
village de vacances se trouve un peu en dehors du village, au bord
de la rivière. |
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Photo
prise un peu plus tard, une fois que la ribambelle de scooters Tmax est
devenue vraiment impressionnante ! |
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Certains
sont arrivés avant moi, d'autres arriveront après.
Chacun prend possession des lieux, de sa chambre... et exhibe son
deux-roues. |
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Ceux
qui sont venus des Bouches-du-Rhône improvisent un petit bar
(ici en bas des escaliers) autour duquel nous nous retrouvons pour
bavarder. |
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Jeannette
peut difficilement se confondre avec un Tmax. Elle attirera des
curieux au cours de la soirée.
(Photo Yeyou13) |
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À
l'heure du dîner, nous nous rassemblons tous dans la salle
de restauration... |
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... où nous est proposé un copieux buffet. |
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