PUYBELLIARD
- SAINT-GEORGES-SUR-LOIRE
(2
mai 2009, 107 km)
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Ce
samedi matin nous nous levons encore tard. Après le déjeuner,
Benoît jette de nouveau un oeil à la carte. |
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Il
traque les petites routes départementales paisibles et à
la fois assez directes pour progresser vers le nord. Ses amis lui
donnent quelques conseils. |
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En
début d'après-midi, c'est le véritable départ.
Benoît dit au revoir à ses amis : Aurélien... |
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Mélanie... |
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et bien sûr à son frère Anthony ! |
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On
vérifie de ne rien avoir oublié et de bien avoir arrimé
les bagages... |
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et on enfourche de nouveau sa mobylette ! C'est donc ici que va
commencer le bout de route que Benoît et moi allons partager
pendant trois jours. |
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Nous
voilà à Saint-Michel-Mont-Mercure, point culminant
de la Vendée qui, avec ses 285 mètres seulement, nous
offre malgré tout un beau panorama sur les alentours. |
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L'église
de Saint-Michel-Mont-Mercure et nos deux mobylettes à ses
pieds. |
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À
Saint-Laurent-sur-Lèvre, où Benoît a étudié
pendant sept ans, il pose dans la rue où se trouvait son
appartement : la rue du Verdeau, jouxtant celle de Milvin ! |
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devant l'impressionnante église de Saint-Laurent-sur-Sèvre... |
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haut-lieu de pèlerinage. |
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Vitrail
aux couleurs vives, bien mises en valeur par la lumière extérieure. |
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Les
flèches des deux églises de cette petite ville domine
les toits. |
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Un
peu plus loin, au bord de la route, nous découvrons la Chapelle
du Chêne-Rond au milieu d'un site naturel classé couvert
de landes. |
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Dans
un village suivant, petite vérification de la route à
prendre. |
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Plein
d'essence à Chalonnes-sur-Loire. |
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Benoît
remplit à la fois le réservoir de sa mobylette... |
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et un bidon annexe, pour bénéficier de la meilleure
autonomie possible. |
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Alors,
où sommes-nous, là ? |
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Nous
franchissons à présent la Loire, entre Chalonnes et
Saint-Georges, mais le fleuve se partage ici en trois bras et celui-ci
- le deuxième - est le plus petit. |
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Photo
de groupe ! |
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Ce
bras-ci est le troisième et dernier que nous traversons,
nettement plus large. Le caractère capricieux de la Loire
a dissuadé de trop coloniser ses rives et donc de les défigurer. |
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Restées
par conséquent assez sauvages, elles me charment toujours
profondément. D'ailleurs, n'invitent-elles pas à la
promenade ? Jeux de lumières en fin d'après-midi. |
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Vers
l'est, on aperçoit un autre des nombreux ponts qui franchissent
le majestueux fleuve. (Celui-ci supportent une voie ferrée.) |
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Benoît,
qui a exercé son oeil à trouver de bons lieux de bivouac
au cours de son premier voyage à travers l'Europe, a su nous
dégoter celui-ci ! |
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Dissimulé
dans un bois, en retrait de la route, et avec de hautes herbes moelleuses
pour planter la tente, ce sera effectivement un endroit idéal.
Elle n'est pas belle, la vie ? |
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Avec
le réchaud et la popote de Benoît, nous nous préparons
un succulent dîner de pâtes ! |
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Un peu de sauce bolognaise pour l'agrémenter et le tour est joué. Mangeons tant que c'est chaud ! |
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