N'hésitez
pas
à m'écrire
en
cliquant ici
A
c c e s s o i r e s
Quand
on veut ressembler à
la voiture de James BOND
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SUIS-JE ?
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FUT GINETTE ?
LE
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SAISON
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SAISON
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&
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Accessoires de Ginette
La
montre sur le tableau de bord (version 1999-2004)
La
planche de support de cartes
Le
premier sac à dos
La
plaque d'immatriculation « GINETTE »
Les
panneaux arrière : Corse, Neukirchen et Écosse
Les
enseignes Peugeot
La
montre sur le tableau de bord (version 2005-2006)
La
petite publicité pour ce site Internet
Le
matériel de bivouac
: le
duvet, le
tapis de sol, la
tente
La
trousse de premiers secours
Le
rétroviseur droit
La
lampe dynamo
Le
sac de grande randonnée
La
popote
La
selle rembourrée
et
le meilleur pour la fin : le GPS de bord !!!
Accessoires de Jeannette
Le
rétroviseur droit
Le
top-case
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o O o -
LA MONTRE SUR LE TABLEAU DE BORD (version octobre 1999 - septembre 2004)
Regarder
l'heure quand on conduit... hmmm, pas facile !
Surtout l'hiver, quand la montre à votre poignet se cache
sous plusieurs épaisseurs (chemise, pull, gants), sans oublier
que cette opération nécessite de lâcher le guidon
et de quitter la route des yeux...
Mon père m'a
alors installé une montre rectangulaire à gros chiffres,
avec un velcros, à gauche du compteur. C'était exactement ce qu'il me fallait. Grâce
au velcros, je pouvais la
retirer et la remettre sans problèmes.
Ginette
a connu deux montres rectangulaires comme celle-ci, la première ayant rendu
l'âme courant 2001. Pour la seconde, c'est toute l'agitation
des 3000 km en Corse qui lui a provoqué des dysfonctionnements.
-->
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à 16 FÉVRIER 2000
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LA
PLANCHE DE SUPPORT DE CARTES (juillet 2001)
Regarder
la carte routière quand on conduit... hmmm,
encore moins facile ! Jusqu'ici, quand je partais en excursion et
que j'hésitais sur la direction à prendre à
un carrefour, ou bien lorsque j'étais perdu,
il fallait que j'éteigne le moteur, que j'enlève mon
sac à dos, que j'en sorte ma carte, que je la déplie,
que je la consulte, que je la replie, que je la replace dans le
sac à dos, que je remette le sac sur mon dos, et que je redémarre
le moteur ! Il y avait sûrement mieux à trouver...Mon père et moi avons donc longuement réfléchi à un dispositif qui me permettrait de lire directement mes cartes, sans avoir à les sortir de mon sac : une simple planche qui se bloque sous la selle et se fixe à la barre de renfort à l'aide d'un velcros. Nous l'avons sciée sur les côtés pour la place des jambes, puis nous y avons scotché un protège-cahier ouvert sur le côté droit, pour y insérer les cartes. Il ne reste plus qu'à enserrer le tout avec un bon élastique pour qu'elles ne bougent pas, et le tour est joué !
Cette invention ne nous a d'ailleurs pas quittés, sous le soleil comme sous la pluie, jusqu'à devenir trop usée, en 2004. Pour la Corse, j'en ai donc fabriqué une réplique, légèrement améliorée (couche de vernis à bateau pour l'étanchéité du bois). Et je l'ai toujours puisqu'elle n'était pas sur Ginette au moment du vol.
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LE PREMIER SAC À DOS (juillet 2003)
Au
cours de mes premiers périples et jusqu'en 2005 (Normandie,
Belgique, Corse, Vosges, Poitou-Charentes, Neukirchen), j'ai utilisé
ce sac (de marque Lafuma) pour seul et unique bagage. Ni neuf, ni
esthétique, ni très étanche, il a pourtant
été un compagnon de voyage extrêmement pratique.
D'une capacité d'environ 30 ou 35 litres, il était
suffisamment volumieux pour contenir toutes les affaires dont j'avais
besoin et suffisamment petit à la fois, ne faisant souffrir
ni Ginette ni mon dos. Il s'accordait parfaitement avec un rythme
de voyage cadencé par les nuitées en auberges de jeunesse.
Généralement, une fois chargé, il pesait 8
kg.
En 2006, mon envie d'aller
bivouaquer en Écosse m'a poussé à me procurer un sac
beaucoup plus volumineux (voir
ci-après)
qui, une fois chargé, pesait 20 kg. Et c'est justement ce
surchargement et ce surpoids qui, principalement, m'ont poussé
à abandonner mon beau rêve et à faire demi-tour
à Londres. Moralité, pour de futurs périples,
c'est finalement vers ce premier sac que je retournerai ! Ou
bien j'en achèterai un autre avec un volume similaire. En
effet, les succès de mes premiers périples démontrent
que les proportions idéales sont plutôt de cet ordre-là.
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LA PLAQUE D'IMMATRICULATION « GINETTE » (septembre 2003)
Ce
n'est pas tout d'avoir un surnom ! Le plus drôle est encore
de le faire connaître ! Et l'autodérision a du bon
!
Je
m'étais promis de ne rien faire avant de quitter le lycée, parce qu'en arrivant devant les amis chaque jour
avec « GINETTE » écrit derrière, et même
si j'aime bien assumer mes différences, là je me serais
vraiment fait chambrer ! C'est donc après le baccalauréat, et surtout après le passage des 40000
km, que j'ai fait fabriquer cette plaque par un commerçant
à Carrefour.
Heureux au moment
de l'installer, puis un peu sceptique - il faut l'avouer - en prenant
du recul, j'ai fini par énormément m'attacher à cette originalité ! Lorsque j'étais arrêté à un feu rouge,
les passagers de la voiture
de derrière souriaient souvent, voire riaient ! J'avais l'impression de répandre la bonne
humeur sur mon passage ! Quant
aux gens avec qui j'ai sympathisé en voyage,
ils se sont toujours marrés, eux aussi, en voyant cette plaque,
et ont souvent joué le jeu de l'ironie : « C'est qui Ginette ? Vous ou la machine
? »
J'ai toujours cru que cette
plaque a priori ringarde était indéniablement mon antivol le plus efficace
! C'était peut-être vrai, mais l'histoire m'a appris
à ne pas confondre « efficacité » et «
infaillibilité ».
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LES PANNEAUX ARRIÈRE : Corse (août-sept. 2004), Neukirchen (sept. 2005), et Écosse (mai 2006)
Pour
un périple aussi important que celui qui nous mena en Corse,
j'ai
souhaité que Ginette exhibe un petit panneau, pour permettre
au monde extérieur de connaître les grandes étapes
de notre projet. C'était une feuille de papier A5 imprimée, posée sur
une planche de bois, et couverte d'un protège-livres autocollant,
le tout fixé avec deux vis dans le garde-boue arrière.
Ainsi,
tout au long du voyage, ici et là, je me suis
régalé à épier des gens qui eux-mêmes
regardaient du coin de l'oeil le panneau, essayant d'en lire tous
les éléments. Cela m'a d'ailleurs permis de sympathiser plus
vite avec eux !
Pour le voyage
à Neukirchen,
Ginette a de nouveau été parée d'un panneau arrière,
conçu spécialement pour l'occasion, et dont j'ai davantage
chargé la feuille que pour celui de Corse.
Idem
pour l'Écosse,
dont le panneau arborait des
couleurs locales !
iiCLIQUEZ SUR UN PANNEAU POUR L'AGRANDIRii
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LES ENSEIGNES PEUGEOT (novembre 2004)
Lorsque
Benjamin et moi avons passé ce fameux après-midi en
compagnie des responsables de Peugeot Motocycles, ils nous ont offert
des cadeaux très sympathiques : de beaux sigles Peugeot,
noirs ou chromés ! Chacun de notre côté, et
sur nos machines respectives, nous les avons installés en
rentrant en Essonne. J'en ai placé un chromé sur le cache-phare
avant, et le noir sur la barre métallique verticale sous
la selle.
Quelques jours plus tard,
une amie qui avait récupéré le mot «
PEUGEOT
»
de l'arrière de sa 106 suite à un petit choc, me l'a
également offert pour la mob, alors je l'ai installé
à l'arrière, à droite de la
selle.
Ces emblêmes brillants
redonnaient un petit coup de jeunesse
à la p'tite !
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LA MONTRE SUR LE TABLEAU DE BORD (version avril 2005 - décembre 2006)
Après
que la précédente montre a rendu l'âme après
la Corse, il fallut en trouver une nouvelle. Ce fut
chose faite à Carrefour : de plus, la nouvelle passagère
a une allure un peu plus futuriste et surtout elle est ronde, donc
plus en harmonie avec les formes du tableau de bord. Cette fois
par contre, le velcros a cédé la place à la
partie adhésive de la montre elle-même. La retirer
du tableau de bord quand je le souhaitais était donc plus
délicat, alors je l'y laissais à demeure. Elle était
sur Ginette lors du vol.
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LA PETITE PUBLICITÉ POUR CE SITE (avril 2005)
Eh
oui ! Après avoir fait sourire les conducteurs avec la plaque
«
GINETTE
», j'ai voulu tenté de faire de la pub
pour ce site Internet sur la route, dans la circulation. J'aimais
bien le contraste entre le
côte ringard de la plaque «
GINETTE
» et le côté
moderne qu'inspirait l'adresse Internet ! (et encore, ce n'est rien
comparé au contraste que suscitait le GPS, voir ci-après)
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LE MATÉRIEL DE BIVOUAC ! (décembre 2005 - janvier 2006)
Ne
pas exposer son corps aux agressions du froid...
...
ne pas confronter son dos aux rudes imperfections de toutes sortes
de terrain...
... et opposer chaque
soir à la fatigue de la journée le bonheur de recréer
un petit chez soi...
... voilà comment - je pense - on part d'un bon pied pour bivouaquer !
À
chacun de ces souhaits répond naturellement un objet précis
: le duvet, le tapis de sol, et la tente. Et pour chacun de ces
achats, les questions de volume et de poids ont été cruciales évidemment,
car Ginette n'aimait pas qu'on la fasse rimer avec fourgonnette !
Tout
a été acheté chez Quechua
(Décathlon),
et je dois vivement remercier ma petite amie Lucie pour m'avoir si bien
conseillé !
Tout a également
été acheté dans la perspective de bivouaquer
lors du voyage qui devait nous mener en Écosse en mai 2006, et finalement
c'est tout ce poids supplémentaire qui m'a poussé
à renoncer au projet, et m'a contraint à faire demi-tour
à Londres.
J'en ai tiré
cette leçon : partir à cyclomoteur et bivouaquer,
en emportant tout ce matériel dans un gros sac de randonnée,
c'est possible oui, et ça peut être extrêmement
sympathique, mais je n'essaierai plus de le faire pour un voyage
qui doit durer plus de 3
ou 4 JOURS,
ou totaliser plus de 1000
KM.
Cela me semble très important. Au-delà, la lourdeur
du chargement peut empêcher de bien apprécier le séjour.
Ou alors, il faut concevoir un autre système de portage,
comme par exemple des sacoches, voire une remorque.
Tous
ces objets n'ont bien sûr pas été volés
avec Ginette, je pourrai les mettre à nouveau à profit.
Le
duvet est un S5 ultralight : confort au-dessus de 5°C, transition
entre 0°C et 5°C, et risque entre -15°C et 0°C.
Il pèse 1,27 kg, et par sa forme «
sarcophage
»,
il peut vous donner l'impression d'être Toutankhamon
ou Neil Armstrong, c'est selon. Bref, après l'avoir testé,
je peux affirmer qu'il est efficace. Je me suis senti très
bien dedans. Seul inconvénient : s'il n'y a pas plus simple
pour le sortir de son étui en tissu, on se prend un peu la tête
à l'y refaire rentrer quand on plie bagage, le matin.
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Le
tapis de sol est un A100 ultralight. Il pèse 510 g et ses
dimensions sont : 120 x 52 x 2,5 cm. Un ami m'avait dit qu'un mètre
vingt de long suffisait, car le plus important était le confort
des épaules et du bassin, et après essai j'approuve.
La propriété principale de celui-ci est qu'il est
autogonflant : vous le dépliez, ouvrez la valve, attendez
quelques minutes qu'il se gonfle tout seul, rajoutez deux ou trois
profondes expirations, et refermez la valve, le tour est joué
! Le matin, rouvrez la valve, pliez-le fort (il se dégonfle)
et à la fin refermez bien la valve. C'est beau la simplicité
!
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La
tente est une Forclaz T2+ ultralight. Elle pèse 2,9 kg, mesure
2,1 m de long (auxquels s'ajoutent 90 cm de longueur d'auvent),
environ 1,5 m de large et 1,1 m de hauteur.
Au moment de son achat,
elle semblait convenir (juste juste) à mes plans du moment,
puisque je souhaitais absolument une tente suffisamment grande pour
pouvoir y rentrer Ginette pendant la nuit, par peur qu'on me la
vole si je la laissais trop en évidence. Or, lors d'un essai
dans le jardin, je me suis aperçu que l'opération
n'était pas du tout évidente, et après avoir
reçu des conseils de quelques amis, j'ai finalement abandonné
cette idée. Ginette resterait donc dehors, bien attachée.
Ainsi, je serais comme un roi à l'intérieur, dans ma
grande tente pour deux personnes !
En
dehors de cette histoire, cette tente est simple à monter
(merci quand même à Lucie de m'avoir appris
!), sa couleur vert foncé se fond bien dans la nature, et
je la trouve surtout très agréable à l'intérieur.
En effet, par le côté «
exceptionnel
» des
nuits sous la tente, et aussi paradoxal que cela puisse paraître,
je trouve qu'une douce sensation de «
cocon
» s'y dégage
davantage que dans le lit moelleux de tous les jours, au confort
duquel on ne prête plus réellement attention. Alors
que dans la tente, on est attentif au moindre bien-être.
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LA TROUSSE DE PREMIERS SECOURS (janvier 2006)
Je
l'ai trouvée à Décathlon, et j'ai pensé
qu'elle pourrait s'avérer très utile. Cette trousse
de secours, qui n'est vraiment pas très volumineuse (19 x
13 x 8 cm), est une caverne d'Ali Baba pour parer toute blessure
ou tout mauvais coup. En cas d'accident, elle pourrait également
être précieuse, et la couverture de survie qu'elle
contient permettrait de supporter des conditions particulièrement
difficiles de froid, de chaleur ou d'humidité. On ne sait
jamais, un voyage peut toujours mal tourner...
Cette
trousse renferme 2 compresses stériles, 5 pansements
adhésifs, 1 paire de gants vinyle, 1 rouleau
de sparadrap, une couverture de survie (140 x 220
cm), une bande extensible, une bande de crêpe
coton, 6 clips de fixation pour bandes, 1 pince à
échardes, 1 paire de ciseau, 1 bandage écharpe
triangulaire, et 2 pansements compressifs individuels.
Mais
on espère toujours ne pas avoir à utiliser tout
ça !
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LE RÉTROVISEUR DROIT (janvier 2006)
Avec
la perspective
du voyage prévu en Écosse en mai 2006, je sentais depuis quelques temps la
nécessité absolue de doter Ginette d'un rétroviseur
droit, pour pouvoir rouler à gauche en toute sécurité
sur le territoire britannique. C'est à Décathlon que
j'ai trouvé mon bonheur : l'un de ces petits rétroviseurs
conçus à l'origine pour les vélos.
Problème
: ces petits rétroviseurs sont censés être fixés
à la poignée gauche des vélos français
! Solution : au niveau du bras articulé, j'ai dévissé
la partie «
miroir
» pour en inverser le sens, et transformer
le tout en un rétroviseur pour vélo anglais !
Second
problème : la poignée droite de Ginette correspond
bien sûr à l'accélérateur, et donc elle
tourne ! Heureusement, il y a à l'intérieur de cette
poignée un cylindre métallique qui est fixe, lui, mais
il ne va pas jusqu'au bout de la poignée ! Après
donc avoir scié 2 cm de caoutchouc et de plastique pour pallier
ce petit souci de longueur, j'ai pu insérer le rétroviseur
dans la poignée métallique et le visser dedans. Il
faut être têtu parfois !
Une
fois en Angleterre, ce rétroviseur m'a effectivement été
très utile. Hélas je n'ai pas eu l'occasion de m'en
servir autant que je le souhaitais, puisque nous n'avons parcouru
que 300 km à peine en Grande-Bretagne, au lieu des 3400 prévus
! De retour en France, je n'ai pas laissé ce rétroviseur
sur Ginette. J'aurai pu (c'est toujours utile), mais il est fragile
et manquait souvent de prendre un mauvais coup. Il n'a donc pas
été volé avec Ginette.
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«
Ah
! C'est la catastrophe ! Je n'ai plus de pile dans ma torche ! »
Normalement,
cette situation ne pourrait pas m'arriver grâce à cette
lampe particulière. Son principe est simple : elle fonctionne
à l'électricité que vous fabriquez en faisant
tourner son manche ! Son autonomie semble correcte. Son ergonomie est bonne et, cerise sur le gâteau,
son manche peut se détacher pour se transformer en tournevis,
et des têtes plates et crucéiformes sont offertes.
Un objet qui me paraît royal pour les voyages à cyclomoteur
et les bivouacs !
J'ai
commandé cette lampe sur le site de l'Homme
moderne.
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LE SAC DE GRANDE RANDONNÉE (mars 2006)
Toujours
dans la perspective du voyage en Écosse, je ne pouvais pas
partir 20 jours avec mon ancien sac, dont la capacité avoisine
je crois les 35 litres. En y mettant seulement la tente, le duvet et le tapis
de sol, il aurait déjà été plein à
craquer ! Il me fallait donc voir plus grand et investir.
Là
encore, c'est chez Quechua que j'ai trouvé mon bonheur, en
prenant le sac le plus volumineux : le Forclaz 70+10
Symbium.
80 litres, bien plus résistant que
l'ancien sac,
plus étanche, plus ergonomique... il avait tout
pour lui !
Je l'ai inauguré
lors du séjour en Touraine à Pâques (à
lire dans les Voyages 2006), et en le chargeant j'avais
effectivement été impressionné par sa contenance.
Évidemment, ce n'était pas non plus sans inconvénient, puisqu'il
était aussi un bien plus lourd fardeau que ne l'était
l'ancien sac ! Mon père et moi avons donc réfléchi
à la façon optimale de le positionner pendant la conduite.
Et voici notre cuisine :
On le
posait sur l'arrière de la selle de Ginette, à la verticale
(2ème photo ci-dessous),
et on l'attachait ainsi grâce à trois mini-tendeurs.
Lorsque je montais sur la machine, je n'avais plus qu'à enfiler
les bretelles et à bien m'asseoir sur la selle : en roulant, le sac reposait
donc entièrement
sur le cyclo, pour ne pas que j'aie mal au dos. Lorsque
je m'arrêtais, je retirais les bretelles, descendais du cyclo, et alors je pouvais pencher le sac en avant jusqu'à le faire
reposer sur la barre de renfort (3ème photo ci-dessous) ; il se couchait donc de tout son
long sur Ginette ! Avec un autre tendeur, de taille normale, je
pouvais l'attacher à la barre de renfort.
Voilà
donc comment mon père et moi comptions dissoudre l'effet
«
lourd fardeau ». Je me suis aperçu en réalité,
sur la route de l'Écosse, que la pratique ne sera pas aussi simple
que la théorie, et c'est bien ce sac (acheté spécialement
pour l'Écosse), qui nous empêchera finalement de mener ce
projet à bien : trop gros, trop lourd, trop de poids sur
l'arrière de Ginette... Et lorsqu'il m'est arrivé
de vouloir
le prendre sur mon dos, j'ai manqué chaque fois de tomber aux moments
de le mettre et de l'enlever ! Moralité : il ne faudrait,
à l'avenir avec Jeannette, utiliser ce sac et songer aux
bivouacs que pour les mini-voyages (3
ou 4 jours, 1000 km maxi), ou alors pour des randonnées pédestres
; pour des voyages aussi importants que devait l'être l'Écosse,
oublions les bivouacs, revenons aux Auberges de Jeunesse... et à
l'ancien sac qui n'était au fond pas si mal !
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Une
fois de plus, c'est Lucie qui m'a conseillé de me
fournir cette «
popote
» (achetée à Décathlon),
pour pouvoir manger lors de mes bivouacs sans avoir à ressembler
à un Homme de Cro-Magnon ! En théorie, bien sûr,
cette popote s'accompagne d'un réchaud, et alors elle fait
office de petite casserole (et le couvercle d'assiette). Mais ajouter
un réchaud dans le sac, déjà très chargé s'il
faut partir en voyage avec bivouacs, cela ferait trop sans
aucun doute. Car le véhicule est roi, c'est une des règles
d'or ! Donc il faut manger froid, mais
qu'importe ?
Cette popote contient,
en plus du contenant-casserole et du couvercle-assiette, un manche
à casserole amovible, un gobelet en plastique, une fourchette,
une cuillère, et un gros élastique. Elle mesure 17
cm de diamètre, pour 8 cm de hauteur, et ne pèse que
300 g environ.
Pour rentabiliser
au maximum son volume, on peut la transformer en boîte à
tout faire en la chargeant de beaucoup d'autres objets
(piles, couteau suisse, briquet, ouvre-bouteille, sacs plastique
vides, stylo...).
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LA SELLE REMBOURRÉE (avril 2006)
En
allant à la rencontre de Jef en Touraine durant le week-end
de Pâques 2006, il m'a montré qu'il avait investi dans
un coussin spécial, posé sur la selle de son scooter
125, augmentant ainsi sensiblement le confort de conduite. En effet,
le mal aux fesses est la maladie classique des voyageurs à
2 roues ! Le coussin est constitué de plusieurs cellules
gonflées d'air, qui communiquent entre elles.
Jef
m'a donné les coordonnées de l'Anglais, installé
dans la Mayenne, qui commercialise par Internet ce type de selles
rembourées. Il les vend en trois tailles différentes
(petite, moyenne, grande). Jetez-y
un oeil
si vous êtes intéressés (mais attendez de lire
la suite).
Le
prix est élevé, voire très élevé,
mais je me suis dit que je ne pouvais pas concevoir de partir
pour 4000 km en Écosse avec ma selle d'origine, il fallait bien investir
un jour !
Eh bien croyez-moi ou
non, j'ai finalement eu plus mal aux fesses avec cette selle rembourée
qu'avec ma selle d'origine ! Peut-être l'ai-je mal gonflée,
trop ou pas assez ? Peut-être ai-je des fesses bizarres ?
En tout cas l'expérience n'a pas été un succès.
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et le meilleur pour la fin : LE GPS DE BORD !!! (février 2003)
Passionné
de géographie, en très grande partie grâce à
ce 103 RCX d'ailleurs, je possède un GPS de randonnée
eTrex Venture de Garmin depuis 2002, commandé sur le site
d'Orbitica
pour ceux que ça intéresse. Après avoir bien profité
de lui à pied, en voiture, et même en train, j'ai décidé
de commander un étrier
pour guidon pour qu'il puisse enfin suivre, à n'importe
quel moment, mes déplacements avec Ginette. Le
1er février
2003, j'ai reçu le fameux étrier, que j'ai vissé sans problèmes à gauche du guidon...
et nous voilà surveillés par les satellites américains
! Je pouvais même retirer le GPS de l'étrier à
n'importe quel moment (et je le retirais systématiquement,
grâce à quoi il ne m'a pas été volé
avec la mob).
Coordonnées géographiques,
boussole électronique, altitude (précision 5 mètres généralement),
vitesse, vitesse maxi, distance parcourue, temps écoulé,
vitesse moyenne totale, vitesse moyenne en déplacement, vitesse
verticale, cap suivi, horaires du lever et du coucher du soleil,
du lever et du coucher de la Lune, possibilité de répertorier
les positionnements de 500 points, d'enregistrer
10 itinéraires parcourus, de programmer
20 routes à parcourir... voici un aperçu de ses fonctions
de base. Et
si l'on «
navigue
» en direction d'un point
précis, on a aussi : distance à vol d'oiseau jusqu'à ce
point (cette distance pouvant se rapprocher de celle parcourue sur
la route si on la partage en plusieurs segments), cap à suivre
pour atteindre la destination, temps estimé pour arriver
à destination, heure estimée de l'arrivée...
Bref,
Ginette n'était pas du tout vieille et bonne à ranger au garage.
Elle était même à la pointe du progrès !
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LE RÉTROVISEUR DROIT (octobre 2007)
De
la même façon que sur Ginette, j'ai tenu à doter
Jeannette d'un rétroviseur du côté droit. En
revanche, cette fois, je n'ai pas attendu pour cela de planifier
un voyage en Grande-Bretagne (conduite à gauche), même
si j'espère bien avoir le plaisir de programmer et d'accomplir
prochainement un tel projet !
Ce
second rétroviseur m'a simplement paru judicieux sur le plan
de la sécurité - et il l'a été effectivement
-, notamment dans la circulation urbaine du centre de Brest. Et
le jour donc où les Îles Britanniques nous appelleront,
nous serons en règle sur ce point.
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Lorsque
je rêve de futurs périples, que je prévois plus
ou moins longs, plus ou moins ambitieux, je n'aime guère
imaginer Jeannette croulant sous trop de poids, sous trop de sacoches.
L'échec du voyage en Écosse, avec Ginette en 2006, me revient
souvent en mémoire et je n'oublierai pas que le surchargement
était majoritairement en cause puisque j'avais prévu
de camper. Alors je suis redevenu un fervent adepte des Auberges
de Jeunesse, comme auparavant, car elles constituent selon moi un
moyen d'hébergement idéal pour celui qui veut voyager
à cyclomoteur : parallèlement aux sympathiques rencontres
qu'elles favorisent, elles offrent un confort très appréciable
tout en permettant de maîtriser son budget, et surtout elles
dispensent d'emporter tente, duvet, tapis de sol... qui, accumulés,
sont volumineux et relativement lourds.
J'ai
donc envie - que dis-je, j'exige - de voyager léger, de sentir
que la machine ne tire pas la langue, de me libérer de ce
souci. Néanmoins, même en utilisant le réseau
des Auberges de Jeunesse, on a bien sûr toujours besoin de
transporter un certain nombre de choses (vêtements, affaires
de toilette, pique-nique, cartes routières, bidon d'huile,
outils et pièces de rechanges...), alors pour économiser
davantage mon dos que précédemment j'ai acquis ce
très esthétique top-case de 29 litres. Il s'installe
très facilement sur le porte-bagages du Vogue - Ginette,
elle, n'avait pas de porte-bagages -, il peut se retirer à
tout moment de son socle et il se transporte à la main sans
difficulté grâce à sa poignée. Certes,
il ne m'évitera pas de prendre un sac à dos, mais
celui-ci pourra se limiter à un poids très raisonnable.
Un
bel achat grâce auquel je vais pouvoir conduire plus sereinement
et concentrer pleinement mon attention sur le paysage !
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